dimanche 9 décembre 2007

Meanwhile, back in Niger...: Ay koy ga di Gotheye

Meanwhile, back in Niger...: Ay koy ga di Gotheye

De Gotheye à New York, via accra


Les âmes sont fortes, déterminées.... elles possèdent, bien sûr, une connaissance qui les aident à naviguer, une connaissance, que nous, n'avons que dans notre subconscient....
elles voyagent dans le temps, vers les autres âmes qui les aident à grandir, celles qu'elles ont déjà rencontrées, celles qu'elles doivent rencontrer.
D'un aïeul disparu à un nouveau né, l'âme se déplace, quitte et habite, des enveloppes ....s'enrichit d'expériences, et d'humanité. Je remercie le bon Dieu d'avoir fait voyager cette âme de Gotheye à New York via Accra pour rencontrer cette autre âme du pays Sénoufo, ayant transité par Abidjan... J'attends impatiemment l'âme qui habitera le petit être que cette rencontre fera naître bientôt.......

jeudi 15 novembre 2007

Musique...

... mon amour
Musique... mon recours!
A mon oreille, à mon coeur, tu souffles...
Ta  douceur, à mes sens... tu confrontes...
Mes amitiés, mes pensées, tu confortes...
toi autour, jamais, jamais je ne souffre...
Musique mon amour, musique, mon discours

Love....

... c'était son nom....Celui là-même qui justifie nos voyages et nos actions, celui là même, qui, lorsqu'on se demande: "mais qu'est ce que je fous là", nous fait voler plein de papillons dans le ventre. Love....celui qui donne du courage à ce petit bout de femme que j'aime tant, qui l'aide à affronter toutes ces épreuves qu'elle n'aurait jamais imaginé rencontrer...
 Love....transformé en petite graine, planté , arrosé, surveillé par lui même...
Love, tu grandis, tu nourris, tu dérationalises

De l'harmattan aux flocons de neige


Ils ne sont pas encore là, les flocons. Mais quand ils arriveront.... quand il fera vraiment froid, quand tout sera blanc, et que seul le beurre de karité sera capable d'assouplir ma peau, et bien, je repenserai à ma grand-mère qui, un jour d'harmattan, me dit, très sérieusement: "dis à tes frères qui sont en France qu'il faut qu'ils me ramènent un pull, le froid va me tuer ici..."A l'époque, cela m'avait déjà fait rire, et j'y ai repensé et ai à nouveau rigolé à chaque fois que l'hiver prenait ses quartiers à Montpellier, Paris, Bruxelles, Londres, Utrecht  ou New York , me rappelant à quel point tout est relatif......